La Suisse entre dans ce qu’on appelle « la finance durable 3.0 ». Sur ce marché devenu complexe, aux multiples « nuances de vert », les exigences augmentent. Avec l’urgence climatique, investir dans des entreprises qui ne sont pas un problème pour la planète ne suffit plus : il faut investir dans celles qui ont une solution. On passe de la réduction d’impacts négatifs à la création d’impacts positifs. De la sélection de placements qui promeuvent, parmi d’autres objectifs, des caractéristiques ESG, on évolue vers une exigence d’impact : les clients recherchent des entreprises qui ont un objectif de durabilité ou d’émission carbone et se donnent les moyens de l’atteindre. Quels rôles peuvent jouer les investisseurs? Quels sont leurs moyens d’action à disposition? Quelles sont les exigences vis-à-vis des entreprises dans lesquelles ils investissent?
Un épisode avec la participation de Christoph Baumann, attaché au Secrétariat d'Etat aux questions financières internationales (SIF) et chargé des questions de finance durable auprès du Département fédéral des finances.